- Origines émotionnelles possibles de la FIBROMYALGIE
Les personnes qui souffrent de fibromyalgie se sentent souvent « de trop », ou se rendent malades pour attirer l’attention, pour qu’on s’occupe enfin d’elles, qu’on remarque leur existence (ceci inconsciemment, bien sûr.)
Ces personnes vivent souvent une vie qui n’est pas la leur, qu’ils n’ont pas vraiment choisie, mais ils la vivent pour suivre des principes, ou faire ce qu’on attend d’elles, mais qui ne correspond pas à leurs vrais désirs.
Ce n’est pas la vie qu’ils aimeraient vivre.
Alors ils ne veulent plus avancer, se coupent de leurs émotions.
C’est souvent de la violence retournée contre soi, de la trop grande sévérité envers soi-même. Ou se sentir pris en étau entre ses parents, ou vivre de la colère refoulée depuis longtemps.
Il semblerait que les sources de la fibromyalgie remontent très souvent à l’enfance, à la suite d’un événement ou d’un contexte qui a généré de la culpabilité.
Il est bien clair que ça n’explique pas toujours tout, mais c’est juste pour soulever une question, une possibilité éventuelle qu’il y a quelque chose de non réglé derrière cette blessure.
La fibromyalgie semble atteindre surtout chez les personnes qui culpabilisent, qui ne se donnent pas le droit d’exister et même parfois, qui regrettent d’être nées car elles pensent que leur naissance ne rend pas leurs parents heureux, ou qu’ils seraient bien mieux sans elles.
La
FIBROMYALGIE
est la conséquence d’une grande douleur intérieure, de l’anxiété, du perfectionnisme poussé au-delà des limites. On sent de la pression de l’entourage, ou on se la met soi-même, on a de la peine à s’affirmer, à se faire reconnaître, à recevoir de l’amour.
Comment inverser la tendance ?
Se permettre d’être qui on est, avec ses imperfections, ses faiblesses. On n’a pas à être parfait, d’ailleurs la perfection n’existe pas. C’est un chemin, et non pas un but à atteindre, comme le dit la citation de sagesse orientale.
Prendre soin de soi, se donner de la douceur, se traiter avec bienveillance.
S’épanouir dans des activités qui nous plaisent, qu’on a choisies, se faire plaisir.
Se donner le droit d’exister, on est sur terre, il y a une bonne raison, à nous de faire que notre vie nous corresponde le mieux possible, faire du mieux qu’on peut avec ce qui est.
Se donner un but, soutenir une cause, donner un sens à sa vie.
- Causes émotionnelles des maladies du FOIE ET DE LA VÉSICULE BILIAIRE
Maladies du foie
: le foie représente les choix, la colère, les changements et l’adaptation.
Causes émotionnelles possibles :
On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux. Difficultés d’ajustement à une situation.
Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.
Colère refoulée.
Personnes sujettes aux maladies du foie : personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.
Cirrhose
: causes émotionnelles possibles : souvent une maladie liée à l’alcoolisme, mais l’alcoolisme est aussi maladie en rapport avec ces émotions : forme d’autodestruction, rejet de soi-même et de sa vie, culpabilité de vivre. Trouver que la vie est injuste, être au bout de ses limites.
Hépatite
: cause émotionnelle possible : se faire du mauvais sang, situation personnelle difficile, relations tendues, sentiment d’échec, d’injustice.
Impression de se perdre, ne pas distinguer le bien du mal.
Avoir été obligé de faire quelque chose.
Maladies de la vésicule biliaire
:
La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage.
Se battre. Esprit de conquête.
Quelles émotions refoulées peuvent provoquer des maladies de la vésicule biliaire ?
Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser. Sentiment d’injustice.
Colère, rancune.
Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.
Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.
Se retenir de passer à l’action.
Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.
Calculs biliaires lithiases biliaire
:
Les pierres ou calculs sont des dépôts de cholestérol agglomérés et durcis.
Émotions refoulées qui peuvent provoquer des calculs ou de la lithiase biliaire :
Ces calculs peuvent résulter de pensées ou de jugements top durs envers soi-même, envers son entourage ou envers la vie, ou craindre les jugements des autres.
Amertume intérieure, mécontentement envers soi-même ou quelqu’un de l’entourage.
Désir de revanche, détester quelqu’un.
Envie ou jalousie non avouée. Désir de montrer au monde entier de quoi on est capable.
Être décidé à aller de l’avant, en étant conscient de ses capacités, mais se sentir arrêté ou limité par quelque chose ou par des peurs.
Peur de perdre, ou de perdre la partie, de quitter quelqu’un ou une situation, sensation de devoir se justifier.
Désir de clarifier une situation ou refus de d’y voir clair.
Difficultés à accepter ses sentiments et émotions, surtout s’ils sont négatifs.
Reconnaissez et acceptez ces émotions, si vous les éprouvez, mettez des mots dessus, acceptez votre ressenti, écrivez une lettre à la personne qui vous est la cause de ce que vous éprouvez, puis brûlez-la ou déchirez et jetez dans les toilettes, c’est libérateur. Une fois les émotions négatives reconnues, acceptées et évacuées, le corps peut cesser de vous envoyer ce message de « mal a dit. »
- Causes émotionnelles des maladies : LA GLANDE THYROÏDE
Quelles émotions et quelles circonstances de la vie sont susceptibles d’occasionner des problèmes à la glande thyroïde?
Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.
Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.
Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse.
Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.
Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté.
Difficultés à s’affirmer.
Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.
Chagrin non reconnu par l’entourage.
Hyperthyroïdie
:
Désir de vengeance, besoin de prouver ses capacités.
Trop en faire pour être aimé.
Croire que tout est urgent, il faut tout « faire vite ».
Colère et tristesse de ne pas avoir dit ce qu’on aurait aimé ou voulu dire à une personne, ou dans une situation. Dans ce cas, on peut essayer de faire la thérapie de la lettre à brûler
Se sentir dépassé par les événements.
Non-dits accumulés.
Hypothyroïdie :Profond découragement, à quoi bon ?
Aimerait en faire plus mais ne se demande pas quels sont ses vrais besoins.
Personne ne nous comprend.
Rancune tenace et nourrie pendant des années.
Résignation, abandon de la vie.
Désir de fuir les réalités, se mettre en retrait.
Rancune ancienne non réglée.
- Causes émotionnelles des maladies : LES HERNIES
L’hernie est une partie d’un viscère, pour les hernies inguinales ou du noyau gélatineux, pour les hernies discales qui saille hors de la cavité qui le contient et qui passe à travers la paroi musculaire, formant une petite boule qu’on sent sous la surface de la peau.
En règle générale : de la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée.
Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.
Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.
Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.
Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire :
Hernie inguinale
: (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer.
On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.
Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.
Hernie discale
: conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien.
Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.
Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.
Refouler ses émotions.
Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.
- Causes émotionnelles des maladies des GENOUX
Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.
Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.
Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.
Devoir s’incliner pour avoir la paix.
Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,
Entêtement, humiliation.
Culpabilité d’avoir raison.
Colère d’être trop influençable.
Les problèmes au genou droit mettent souvent en cause un conflit avec un homme (refus de céder ou de se soumettre ou inflexibilité envers un homme) tandis qu’au genou gauche, ça peut être un problème avec une femme (refus de plier devant une femme).
- Causes émotionnelles des maladies : LES ENTORSES
La personne qui est sujette à une entorse peut se sentir obligée d’aller dans une direction contraire à ce qu’elle voudrait vraiment.
Elle se laisse diriger, va plus loin que ses limites et s’en veut de ne pas pouvoir dire NON aux autres.
Elle a peur de faire une entorse au règlement ou à ce qu’on attend d’elle.
Cette entorse lui donne l’excuse nécessaire pour prendre un temps d’arrêt.
RÉFLEXIONIl y intérêt à être plus flexible, car tu te fais mal en insistant pour voir les choses à TA façon…il serait bien de chercher à t’informer sur la motivation des autres et voir peut-être les choses d’une autre façon que la tienne.
Peut-être devras-tu apprendre à dire NON, et cesser de répondre aux attentes des autres. Si tu t’imposes toi-même une certaine direction, vérifie quelle peur te motive ou quelle raison?
En étant plus flexible envers toi-même et envers les autres, tu pourras mieux répondre à TES besoins.
D’après « Ton corps dit « aime-toi », de Lise Bourbeau
- Origine émotionnelle possible des maladies LA PEAU, eczéma, acné, psoriasis
Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication.
Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.
Eczéma
: anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer. Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété. Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher. Chez les enfants, l’eczéma des enfants peut résulter d’un sevrage trop rapide ou difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi.
Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité, il faut rassurer l’enfant sur l’amour qu’on lui porte et lui expliquer pourquoi on retourne travailler, et s’il y a des disputes et des querelles, lui parler, lui dire que c’est un problème entre adultes et que ça vous appartient.
Acné
: manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas. Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence. Honte des transformations corporelles. Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.
Vitiligo
: séparation difficilement acceptée ou vécue, sensation de rejet. Souvent une personne qui veut sauver les autres, peur de perdre la face. Se sent sans défense et sans protection. Désir de disparaître, de devenir « transparent », passer inaperçu. Ou au contraire, avoir peur de ne pas être remarqué, se sentir invisible. Souvent un conflit avec le père, se sentir dévalorisé par lui ou en se comparant à lui. Culpabilité envers lui. Devoir se conformer à ce modèle paternel, mais sans vraiment vouloir lui ressembler.
Psoriasis
: personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre. Besoin de se sentir parfait pour être aimé. Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation. Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau. Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.
- Origine émotionnelle possible des maladies DES SEINS
Les seins ont un rapport direct avec notre façon de « MATERNER », soit nos enfants, notre famille, notre conjoint ou le monde en général.
Materner signifie traiter l’autre comme s’il était son enfant, dépendant de sa mère. Être trop protectrice, trop « mère poule » ou dominatrice avec ses enfants ou son conjoint.
La personne qui a un problème au sein peut être du genre à se forcer pour avoir l’air maternelle, et pour être une bonne mère
Ou elle s’en fait trop pour ceux qu’elle aime, au détriment de ses propres besoins, ne laisse pas ses enfants devenir autonomes et prendre leur envol. Elle veut les protéger, les empêcher de vivre et veut prendre les décisions à leur place.
Ou alors qu’elle s’en demande trop, à elle-même, par manque de confiance ou d’estime de soi.
Elle peut souffrir d’une trahison conjugale ou affective, culpabilité envers un enfant ou avec sa mère, chagrin affectif, relationnel ou conjugal, avec un sentiment d’abandon.
Elle peut éventuellement aussi éprouver un sentiment d’échouer en tant que mère, ou de la culpabilité de voir souffrir sa mère.
Ou elle a été séparée d’une personne chère, qui est partie du foyer, ou qui est décédée.
Le sein droit a un lien avec le conjoint ou la famille (pour une personne droitière), ceux qu’on materne. Difficultés avec son mari ou un de ses enfants.
Le sein gauche est plutôt lié avec son enfant (ou son enfant intérieur), et l’affectif, ceux qu’on tient sur son cœur. Ça peut être aussi un « conflit de nid » avec un élément masculin, mari ou fils.
Pour une gauchère, c’est l’inverse.
Une exception, toutefois : une forte émotion liée à une douleur de séparation d’avec son partenaire peut affecter le sein droit (chez une droitière) et une émotion avec une résonance de douleur d’abandon vécue dans notre enfance peut atteindre le sein gauche.
RÉFLEXION
: Il y a peut-être aussi un pardon à faire avec sa propre mère, ou avec la personne qui te cause de la peine…
Il est aussi possible que tu maternes ta mère, ou une autre personne, et que ça te cause un problème. Ta mère ou quelqu’un d’autre te demande de l’aide au-delà de ce que tu peux donner, au delà de tes limites.
Au lieu de te forcer ou de te plaindre de ce que tu vis, essaie de ne donner que ce que tu peux faire DANS L’AMOUR ET DANS LA JOIE, et dans le respect de ce que tu peux donner.
Ton sens du devoir est trop grand, tu dois apprendre à lâcher-prise de ceux que tu aimes. Donne toi le droit de ne pas pouvoir ou vouloir en faire plus, et avoue-le sans culpabiliser.
Tes limites actuelles ne seront peut-être pas les mêmes toute ta vie.
L’amour maternel peut exister en toi, sans que tu sois obligée de materner continuellement.
(d’après les livres : Lise Bourbeau, Claudia Rainville et Jacques Martel)
- Origine émotionnelle possible des douleurs de JAMBES, HANCHES, BASSIN
Problèmes aux cuisses
: manque de confiance en soi, traumatismes vécus dans l’enfance.
Mal aux jambes, problèmes de jambes
: peur d’avancer, d’affronter l’inconnu.Faire face à l’avenir, se propulser en avant, aller de l’avant, peur d’avancer dans la vie ou de dépasser une situation, que ce soit dans le domaine du travail, de l’amour, s’engager dans une nouvelle relation, ou même en prévision d’un voyage.Si on a surtout mal quand on ne bouge pas : peut-être qu’on culpabilise de prendre du repos, on ne se permet pas de s’arrêter.
Accumulation de gras aux cuisses
: colère refoulée dans l’enfance, souvent en relation avec le père, ou culpabilité par rapport à des événements du passé.
Accumulation de gras aux hanches
: colère persistante dirigée contre les parents.
Douleurs fond du dos, douleurs lombaires : déception, échec. Autocritique. Contrariété ou colère. : peur de manquer, peur du changement, difficultés financières
Hanches
: indécision, peur de passer à l’action, peur d’aller jusqu’au bout de ce qu’on désire, peur que ça ne serve à rien, peur de s’engager. C’est aussi l’autonomie, et les interdits que l’on s’impose.
Bassin
: représente le foyer, le pouvoir et la sécurité, l’indépendance, les besoins de base. Des problèmes de bassin peuvent être en rapport avec des frustrations liées aux parents, ou à la mère. Ou peut-être qu’on voudrait être la mère de tout le monde et qu’on porte trop de responsabilités qui ne nous incombent pas.